OÙ TU VEUX, QUAND TU VEUX
Iva Frühlingová
Litvínov (2004)

À L’HEURE OÙ LES CHIENS NOUS
LASSENT. ON SE PERD À CHERCHER
SA PLACE, DANS UN MONDE À SE
FAIRE VIEUX. À L’HEURE OÙ TOUT
SE DÉTACHE. JE M’ATTACHE ET
C’EST TANT MIEUX, C’EST



OÙ TU VEUX, QUAND TU VEUX
COMMENT VEUX-TU QUE JE SACHE
QUAND TU VEUX, JE M’ATTACHE
COMMENT VEUX-TU QUE JE LÂCHE
REFRAIN BIS



A L’HEURE OÙ TOUT DE DÉVOILE,
PRÊTE À TIRER SUR MON ÉTOILE, JE
ME BRÛLE À PETIT FEU. QUAND J’EN
PERDS MON IDÉAL, TU ME RAMÈNES
ET C’EST TANT MIEUX, C’EST



OÙ TU VEUX, QUAND TU VEUX
COMMENT VEUX-TU QUE JE SACHE
QUAND TU VEUX, JE M’ATTACHE
COMMENT VEUX-TU QUE JE LÂCHE



QUAND LES NUITS SONT SI
TENACES, QUE LES MATINS CER-
NENT NOS YEUX, ON NE PEUT PAS
ÊTRE MIEUX. TU SAIS LE MONDE
EST SI VASTE QU’IL Y A BIEN DE LA
PLACE POUR DEUX.



OÙ TU VEUX, QUAND TU VEUX
COMMENT VEUX-TU QUE JE SACHE
QUAND TU VEUX, JE M’ATTACHE
COMMENT VEUX-TU QUE JE LÂCHE



À L’HEURE OÙ LES CHIENS NOUS
LASSENT, À L’HEURE OÙ TOUT SE
DÉTACHE, À L’HEURE OÙ CHERCHER
SA PLACE, COMMENT VEUX-TU QUE
JE LÂCHE?



À L’HEURE OÙ LES CHIENS NOUS
LASSENT, À L’HEURE OÙ TOUT SE
DÉTACHE, À L’HEURE OÙ CHERCHER
SA PLACE, COMMENT VEUX-TU QUE
JE LÂCHE?